Pendant le déroulement de la thérapie, le thérapeute travaille dans l’intérêt et le respect de son patient. Il s’engage à :
Si, dans l’intérêt de son patient, le thérapeute aborde avec d’autres personnes (conjoint, parents…) des éléments révélés lors de la thérapie, il ne peut le faire qu’avec l’assentiment explicite de son patient. Si le thérapeute exprime un cas thérapeutique lors d’une séance de supervision ou de partage entre confrères, il doit veiller à ce que le patient ne puisse être reconnu et demander un engagement de secret à ses confrères. Si des révélations livrées au cours d’une séance de thérapie sont incompatibles avec l’éthique du thérapeute, il doit l’indiquer à son patient et peut cesser la relation thérapeutique. Il peut en outre, se considérer comme délivré de ce secret s’il juge que le patient ou des tiers sont en danger et ce dans les limites fixées par la loi [3].
S’il apparaît des divergences concernant les règles fixées par la charte déontologique,
le thérapeute s’engage à :
Le patient s’engage à :
[1] L’article R 1111-24 du code de la santé publique indique que « le psychothérapeute fixe librement le montant de ses honoraires dans le respect du tact et de la mesure. Ils ne font pas l'objet d'un remboursement par l'assurance maladie ».
[2] Article 226-13 du code pénal : « La révélation d'une information à caractère secret par une personne qui en est dépositaire soit par état ou par profession, soit en raison d'une fonction ou d'une mission temporaire, est punie d'un an d'emprisonnement et de 15000 euros d'amende. » [3] Article 226-14 du Code pénal : Levée du secret professionnel :
Tout professionnel ou sexothérapeute se doit de respecter une éthique et des règles de déontologie dont voici les points essentiels :
– Le praticien en sexothérapie doit avoir suivi une formation théorique et pratique approfondie apte à créer une véritable compétence.
– Si le thérapeute (médecin ou non médecin) pratique une approche qui vise à aider le patient sur le plan psychosexuel (comportemental, cognitif, travail avec l’inconscient etc..), il doit être lui même passé par un long processus de travail personnel en psychothérapie ou psychanalyse.
– Le professionnel doit impérativement s’abstenir de tout geste ou activité à caractère sexuel avec les personnes dont il a la charge.
– S’il n’est pas médecin, le sexothérapeute s’interdit de pratiquer quelque examen que ce soit sur son patient. Pour ce faire, il doit l’adresser à un médecin.
– Le thérapeute respecte le secret professionnel en ne délivrant aucun renseignement à des tiers sans l’accord explicite de son patient, à l’exception des cas ou la loi ou un jugement l’y oblige.
– En acceptant la prise en charge d’un patient, le sexothérapeute doit tenir compte des limites de sa compétence et des moyens dont il dispose dans l’intérêt de celui-ci.
– Le sexothérapeute doit faire ce qui est en son pouvoir pour établir une relation de confiance entre lui et son patient. Il doit respecter les valeurs et convictions de celui-ci.
EURÊKA – Jeannick LOLLIA : 7, rue des Asters 97120 Saint-Claude : Tél. 0690768458
Jeannick LOLLIA
77, rue Daniel Beauperthuy
97100
Basse-Terre
Du Lundi au Samedi de 7h à 19h
"Formation massage"
Merci à toi Jeannik et à ton centre de formation.Formé par Eurekasas aux techniques de massage , je mets aujourd'hui, à profit mes compétences acquises.Heureux de rencontrer des personnes tt aussi motivées que moi et ravies de la qualité et du sérieux des journées de formation. Le suivi d apres stage et le rapport stagiaire /formateur est excellent